1.) Quelles images des « autres » (les Français, les Etats-Unis, etc.) ressort(ent) de ces chapitres ? Qu’est-ce que « l’ailleurs » représente ?
a. « Cela leur avait paru si merveilleux, dans leur étroit logement parisien, cette idée qu’au Canada ils passeraient presque toutes leurs journées dehors, dans l’air pur d’un pays neuf, près des grands forets. Ils n’avaient pas prévu les mouches noires, ni compris tout a fait ce que serait le froid de l’hiver, ni soupçonné les mille duretés d’une terre impitoyable. » (136)
i. On peut voir ici que les Français, pour la plupart, pensait au Canada comme un monde « des rêves » en sorte. J’imagine que les Français voulait être « libre » et plus près de la nature, mais quand ils ont arrivés, la terre du Canada était tellement différente. On devait travailler et combattre contre la terre pour survive et ce n’était pas une force gentille.
ii. Celui ci montre un exemple fort de la perception vs. la réalité
b. « On est libre ; on n’a point de boss ; on a ses animaux ; quand on travaille, c’est du profit pour soi…Ah ! c’est beau ! » (138)
i. Je trouve cette citation intéressante parce que la mère Chapdelaine réfute les opinions des Français. Elle dit que même si la vie est difficile au Canada, on est vraiment « libre » pour la première fois. On a tout le contrôle de leur vie et de leur terre, et elle croit que c’est un aspect de la vie magnifique.
c. « C’est de la misère, de la misère, de la misère du commencement a la fin » (140)
i. Lorenzo a dit cela quand il parle de la vie québécoise. Il peint l’image que la vie au Canada ne fournit pas le bonheur pour ces gens. Bientôt après ces mots, il parle au sujet de la splendeur des Etats-Unis.
d. « Lorenzo Surprenant parlant des Etats-Unis et de la vie magnifique des grandes cites, de la vie plaisante, sure, et des belles rues droites, inondées, de lumière le soir, pareilles a de merveilleux spectacles sans fin. » (142)
i. Surprenant possède toute la confiance que sa loyauté aux Etats-Unis a de mérite. J’imagine que des gens avaient des vies paisibles là-bas comme il exprime, mais on doit souvenir aussi que des québécois adore leur vie tellement différente au Canada. Les plaisirs matériaux des cites américains ne sont pas les désirs de plusieurs canadiens. Quand Lorenzo dit cette citation, cependant, l’avis de Maria change pour toujours.
2.) Réfléchissez au personnage de Maria : ses choix dans la vie, son avenir, etc.
a. « L’amour---le vrai amour---avait passé près d’elle…Une grande flamme chaude et claire qui s’était éloignée pour ne plus revenir. Il lui était reste une nostalgie et, maintenant, elle se prenait a désirer une compensation et comme un remède, l’éblouissement d’une vie lointaine dans la clarté pale des cites. » (156)
i. Je ne peux pas blâmer Maria pour sa décision. Comme cette citation exprime, le vrai amour de Maria avait passé près d’elle. Elle décrit Paradis comme « une flamme chaude et claire » ici et on peut voir qu’il était son seul amour. Je ne peux pas la blâmer de vouloir une meilleure vie. J’imagine quand elle arrive aux Etats-Unis, elle va languir pour sa famille et sa ancienne vie. D’un autre cote, Surprenant l’a promit de fournir une vie de la richesse et des rêves. Maria est une jeune fille et je peux voir comment on peut succomber à une promesse comme cela.