mardi 20 avril 2010

Questions pour Ida

1.) Pourquoi pensez-vous que les femmes Franco-Américains sont tellement propres? Comment est-ce que cette habitude une réflexion de la culture?

 

2.) Savez-vous plus au sujet de la vie de votre grand-mère? Je le trouve intéressant qu'elle a habité dans une environnement isolée.    

dimanche 28 mars 2010

Sujet: Redaction #2

"On ne nait pas femme: on le devient" 

         --Simone de Beauvoir, Le Deuxième Sexe

 

         Je voudrais écrire au sujet du rôle de la femme dans les œuvres que nous avons lu.  Je suis dans la classe "Francophone Women Writers" et je trouve le sujet de féminisme fascinant. Simone de Beauvoir a dit: "On ne nait pas femme: on le devient." Je trouve cette citation essentielle pour décrire mon argument.  Les femmes principales dans: Evangeline, Par-derrière chez mon père et Deux Femmes, Deux Rêves montrent les femmes comme les êtres extrêmement fortes et puissantes.  Je crois qu'elles "deviennent" les femmes à travers leurs expériences d'adversité.  Chacune doit endurer un grand changement dans sa vie et elle est la colle de la famille. Bien que l’homme ait le rôle « supérieur » dans la société, la femme tient le rôle essentiel. 

Des exemples :

1.   Evangeline

a.    « O vous tous qui croyez a cette affection qui s’enflamme et grandit avec l’affliction ; O vous tous qui croyez au bon cœur de la femmes, a la force au courage, a la foi de son âme… » (Longfellow, 9)

b.   « Evangeline aimait et de révélait femme. On l’avait a bon droit surnommée, au hameau, le soleil de la Sainte-Eulalie. Au rameau ce soleil fait murir les fruits en abondance, disaient les paysans ; elle, par sa prudence, elle saura remplir le foyer de l’époux, de gaîté, de vertus, et d’enfants blonds et doux. » (Longfellow, 15)

c.    « Evangeline est seule, et bien close est la porte ; mais dans l’enivrement du rêve qui l’emporte elle entend murmurer la voix du fiance, et son cœur plein d’amour vers lui s’est élancé. » (Longfellow, 24)

d.   « Elle prend dans ses mains la tête inanimée, la presse doucement contre son cœur transi, et dit, penchant son front : « O mon Père, merci ! » » (Longfellow, 75)

e.    « Son Evangeline, après tout, était une belle jeune fille sage, pure et courageuse, tout a l’honneur du peuple qu’elle symbolisait » (Maillet, dans Fanie, 71)

                                              i.     Evangeline comme symbole

2.   Par-derrière chez mon père : les contes de Maillet

a.    « En tout cas, les Evangeline que j’ai connues n’avaient braiment pas l’allure de celle qui a sa statue a Grand-Pre. D’ailleurs, je crois que la plupart d’entre elles auraient brise leur socle depuis longtemps et seraient redescendues au ras du peuple. Surement ma tante Evangeline. » (Maillet, dans Fanie, 71-72)

b.   « …elle était la mère de onze garçons, et c’est la ou mon héroïne se distingue le plus surement de celle de Longfellow. » (Maillet, dans Fanie, 73)

c.    « La voilà, votre véritable Evangeline ! une courageuse, astucieuse, guelueuse, mère de onze garçons. » (Maillet, dans Fanie, 76)

3.   Deux Femmes, Deux Rêves

a.    « Une sensualité rehaussée d’une imagination fertile, voilà ce qui caractérisait notre Eglantine, assise sur un gros coussin moelleux, dans une chaise grinçante. Elle avait levé l’ancre du quotidien pour vaguer a la dérive du moi intérieur, la ou se trouve la vraie source de la sensualité. Sans trop en prendre conscience, Eglantine devenait donc, par intervalles, la femme éternelle, inventive, sensuelle, génératrice et aventureuse. » (Beaupré, 46)

b.   « Pas l’affaire de femmes ! Pas l’affaire des femmes ! Qui fournit des jeunes pour les guerres ? Qui ressent les blessures plus profondément qu’elles ? Qui se ronge d’inquiétudes et d’ennui ? Qui, Aurélien ? » (Beaupré, 82) 

dimanche 21 mars 2010

Réponse: La Franco-Américaine

1) Comment est-ce que les Petits Canada (et les communautes franco-americaines aujourd'hui) semblent similaires aux communautes cadiennes en Louisiane (formation, histoire, raisons pour l'immigration, statut de la langue francaise, etc) ? 

Les Petits Canada semblent similaires aux communautés cadiennes en Louisiane a cause de plusieurs raisons.  D'abord, les peuples des Petits Canada participaient dans un grand exode aux Etats-Unis comme les Cadiens.  Ils voulaient trouver le travail et une vie plus facile et meilleure que la vie au Canada.  Ils ont trouve les centres industriels (en particulier les filatures du coton, les manufactures de textile et de chaussures).  Même si la maniere de travail a change pour ce peuple, la famille restait l'aspect le plus important comme pour les Cadiens.  Souvent, les familles travaillaient ensemble.  J'ai trouve intéressent que "le nombre impressionnant d'enfants dans les familles constitue, pour eux, leur véritable richesse." (66)   Aussi, leur mode de vie "tournait autour de l'usine et de l'église."  Ces aspects de la vie restait essentiel pour les Canadiens.  Les Cadiens gardaient ces aspects dans leur vie aussi. 

Les Cadiens et les Francos-Americains voulaient préserver la langue française.  La religion catholique a joue un role important dans la préservation de la langue parce que la plupart d'enseignantes etaient des religieuses.  Ce peuple devait choisir de lutter contre la langue imposante, l'anglais, ou assimiler a la culture.  C'était intéressant parce que la classe ouvrière voulaient assimiler parce qu'ils pouvaient reussir dans le monde de travail.  Il y avait aussi des lois d'enseigner l'anglais comme dans le Maine en 1919.  Alors, les deux groupes (Les Cadiens et les Francos-Americains) devaient essayer de préserver leur langue, mais en même temps assimiler dans la culture.


2) En quoi sont-ils uniquement "franco-americains" (et ainsi differents des Cadiens) ?  Quelle est la situation de la langue francaise aujourd'hui dans les commuanutes franco-americaines ?

Ils sont uniquement "franco-américains" parce qu'ils sont seulement Français et aussi Américain.  Les Cadiens ont une mélange des cultures...Africain, Espagnol, Européen, etc.  "...sur une population de plus de 16 millions d'habitants, plus de 1,5 million s'identifient comme étant d'ascendance acadienne, canadienne française ou française." (89)  Alors, ils s'identifient seulement avec la France, le Canada ou aussi les Etats-Unis.  Il existe aujourd'hui une "conscience ethnique" (90) avec les Francos-Americains.  Ils essaient de retrouver une "collectivité" et un sens de communauté et fierté pour la langue française.  


dimanche 28 février 2010

Qu'est-ce que vous remarquez de la langue française dans ces contes ? Qu'est-ce que Maillet sembler renforcer ou souligner dans sa représentation des Acadiens dans ses contes ?

 

·      Maillet sembler renforcer l’importance du passe, la simplicité des gens, la nature, la vie maritime et les femmes fortes.

o   « Parcourir le monde, c’est remonter l’histoire. Et dans l’histoire se jouait la vie de nos pères. » (Par-Derrière Chez Mon Père)—Cela représente l’importance d’étudier le passe et les ancêtres pour mieux comprendre votre culture

o   « Par-derrière chez mon père, il y a un pommier doux ; les feuilles en sont vertes et le fruit en est doux… ! doux…oh ! »---Maillet décrit la nature dans une manière très sympathique et cela montre l’importance de la nature pour les Acadiens.

o   « Sur la mer, ca se passe au-dessus comme en dessous : les gros poissons mangent les petits. » (Par-Derrière Chez Mon Père)---Maillet utilise les comparaisons souvent avec la mer. La mer est la chose qui fournit la vie pour les Acadiens.

o   « …les Américains comprirent qu’ils avaient fui devant des femmes armées des bottes et des carabines de leurs maris. » (Fanie)---Cela montre la puissance des femmes et comment elles voulaient battre pour leur pays. 

 

·      L’exemple clé que j’ai trouve au sujet de la langue française dans ces contes est :

o   « J’étais enfant d’Acadie, de lignée et de langues françaises, et je voulais vivre dans ma peau, a l’endroit comme a l’envers. C’est pourquoi je répondis au dernier argument de l’institutrice qui traitait de carrière et de gagne-pain : -Moi, je veux devenir écrivain, C’est pour ca qu’il faut que j’apprenne a écrire…en français. »

§  Cet exemple montre le désir des gens avec des ancêtres acadiens, d’apprendre la langue française.  Même si l’Acadie est maintenant une ancienne culture, ces gens éprouvent un lien fort et ils voudraient parler français. Le français était la langue originale des Acadiens avant l’occupation anglaise et il est le lien entre les Acadiens anciens et les Acadiens d’aujourd’hui.

lundi 22 février 2010

Reponse 2 a Evangeline

Quelle sorte de symbole est-ce que l'histoire (la légende) d'Evangeline représente pour les Acadiens ? Comment est-ce que ce poème (et son histoire) a influence la littérature et/ou la culture (a)cadienne ?

 

·      La légende d’Evangeline représente la beauté du passe pour les Acadiens.  Leur passe fournit un exemple d’une vie paisible, simple, et proche de la nature.  Evangeline, le personnage dans le poème, montre une femme de la terre qui est innocente et pure.  Elle est l’exemplaire d’une personne d’Acadie et à travers elle, on peut avoir l’espoir pour l’avenir. 

Ce poème influence la littérature et la culture acadienne parce qu’il montre que cet peuple a mené une vie enviable des autres et peut-être on peut retourner a une manière de vie comme cela. L’histoire de l’expulsion des Acadiens n’est pas très bien connue, alors ce poème raconte la « vraie histoire. 

dimanche 21 février 2010

Réflexion: Longfellow

Comment est-ce que Longfellow représente les Acadiens ? Quelles sortes de caractéristiques sont renforcées dans ce poème ? Comment ?

·      Longfellow représente les Acadiens parce qu’il comprend vraiment les aspects importants de la vie acadienne. 

o   Il montre « la vie de la terre » pour les gens acadiens et comment la nature joue un rôle vital dans la vie. 

o   Longfellow personnifie la nature quand il écrit les strophes comme « Et la foret répond, par de profonds sanglots, Au long gémissement qui monte de ses flots. » La nature reflet les émotions des gens comme dans Maria Chapdelaine.

o   Evangeline possède les caractéristiques « traditionnelles » d’une fille acadienne : elle représente l’innocent, une fille de la terre, une fille de la foi (Catholicisme) 

o   Longfellow montre les gens comme des paysans simples »

§  « La solitude maison de l’humble pionnier. » (10)—Les gens mènent une vie simple mais enrichie.

o   L’importance de la religion :

§  « Ainsi vivaient alors ces laboureurs chrétiens. Ils servaient le Seigneur, et leur vie était sainte. » (11)—Le Catholicisme est très important aux gens.

o   La paix/la tranquillité :

§  « Bien au-dessus des toits, montait de tous ces âtres ou l’on goutait la paix, le plus divin des biens. » (11)—Cet peuple est extrêmement paisible et gentil.

o   Le mot « bercer » :

§  « Ici, le lin berçait ses frêles chalumeaux. » (10)

§  « L’océan s’endormait en berçant des flots verts. » (16)

§  « Bercer » est un mot très doux et paisible qui décrit les Acadiens.

o   La musique :

§  « Pour y danser sur l’herbe, au son du violon. » (14)

§  La musique fournit un sens de paix et gaieté dans les vies des gens.

o   L’intrusion d’une autre culture :

§  « Ces navires anglais mouilles près de nos cotes. Leurs énormes canons, qui sont braques sur nous, Ne nous annoncent point les dessins les plus doux. Mais quels sont ces desseins ? Hélas ! on les ignore ! » (19)—Les Anglais détruisent les vies des Acadiens avec leur intrusion et expulsion du peuple.

o   La nature prévoit des événements:

§  « En été, quelquefois, après un jour serein, on voit, à l’horizon, un nuage s’étendre. » (28)

§  « Mais voilà que soudain le nuage se fend, le ciel vomit la flamme ; et la pluie et la grêle… » (28)

§  Cet orage prévoit l’expulsion des Acadiens.

mardi 2 février 2010

Reponse a MC (Message #3)

1.)  Quelles images des « autres » (les Français, les Etats-Unis, etc.) ressort(ent) de ces chapitres ? Qu’est-ce que « l’ailleurs » représente ?

a.     « Cela leur avait paru si merveilleux, dans leur étroit logement parisien, cette idée qu’au Canada ils passeraient presque toutes leurs journées dehors, dans l’air pur d’un pays neuf, près des grands forets. Ils n’avaient pas prévu les mouches noires, ni compris tout a fait ce que serait le froid de l’hiver, ni soupçonné les mille duretés d’une terre impitoyable. » (136)

                                               i.     On peut voir ici que les Français, pour la plupart, pensait au Canada comme un monde « des rêves » en sorte.  J’imagine que les Français voulait être « libre » et plus près de la nature, mais quand ils ont arrivés, la terre du Canada était tellement différente.  On devait travailler et combattre contre la terre pour survive et ce n’était pas une force gentille. 

                                              ii.     Celui ci montre un exemple fort de la perception vs. la réalité

b.     « On est libre ; on n’a point de boss ; on a ses animaux ; quand on travaille, c’est du profit pour soi…Ah ! c’est beau ! » (138)

                                               i.     Je trouve cette citation intéressante parce que la mère Chapdelaine réfute les opinions des Français.  Elle dit que même si la vie est difficile au Canada, on est vraiment « libre » pour la première fois.  On a tout le contrôle de leur vie et de leur terre, et elle croit que c’est un aspect de la vie magnifique.  

c.      « C’est de la misère, de la misère, de la misère du commencement a la fin » (140)

                                               i.     Lorenzo a dit cela quand il parle de la vie québécoise.  Il peint l’image que la vie au Canada ne fournit pas le bonheur pour ces gens.  Bientôt après ces mots, il parle au sujet de la splendeur des Etats-Unis.

d.     « Lorenzo Surprenant parlant des Etats-Unis et de la vie magnifique des grandes cites, de la vie plaisante, sure, et des belles rues droites, inondées, de lumière le soir, pareilles a de merveilleux spectacles sans fin. » (142)

                                               i.     Surprenant possède toute la confiance que sa loyauté aux Etats-Unis a de mérite.  J’imagine que des gens avaient des vies paisibles là-bas comme il exprime, mais on doit souvenir aussi que des québécois adore leur vie tellement différente au Canada.  Les plaisirs matériaux  des cites américains ne sont pas les désirs de plusieurs canadiens.  Quand Lorenzo dit cette citation, cependant, l’avis de Maria change pour toujours.

2.)  Réfléchissez au personnage de Maria : ses choix dans la vie, son avenir, etc.

a.     « L’amour---le vrai amour---avait passé près d’elle…Une grande flamme chaude et claire qui s’était éloignée pour ne plus revenir. Il lui était reste une nostalgie et, maintenant, elle se prenait a désirer une compensation et comme un remède, l’éblouissement d’une vie lointaine dans la clarté pale des cites. » (156)

                                               i.     Je ne peux pas blâmer Maria pour sa décision.  Comme cette citation exprime, le vrai amour de Maria avait passé près d’elle.  Elle décrit Paradis comme « une flamme chaude et claire » ici et on peut voir qu’il était son seul amour.  Je ne peux pas la blâmer de vouloir une meilleure vie.  J’imagine quand elle arrive aux Etats-Unis, elle va languir pour sa famille et sa ancienne vie. D’un autre cote, Surprenant l’a promit de fournir une vie de la richesse et des rêves. Maria est une jeune fille et je peux voir comment on peut succomber à une promesse comme cela.