Comment est-ce que Longfellow représente les Acadiens ? Quelles sortes de caractéristiques sont renforcées dans ce poème ? Comment ?
· Longfellow représente les Acadiens parce qu’il comprend vraiment les aspects importants de la vie acadienne.
o Il montre « la vie de la terre » pour les gens acadiens et comment la nature joue un rôle vital dans la vie.
o Longfellow personnifie la nature quand il écrit les strophes comme « Et la foret répond, par de profonds sanglots, Au long gémissement qui monte de ses flots. » La nature reflet les émotions des gens comme dans Maria Chapdelaine.
o Evangeline possède les caractéristiques « traditionnelles » d’une fille acadienne : elle représente l’innocent, une fille de la terre, une fille de la foi (Catholicisme)
o Longfellow montre les gens comme des paysans simples »
§ « La solitude maison de l’humble pionnier. » (10)—Les gens mènent une vie simple mais enrichie.
o L’importance de la religion :
§ « Ainsi vivaient alors ces laboureurs chrétiens. Ils servaient le Seigneur, et leur vie était sainte. » (11)—Le Catholicisme est très important aux gens.
o La paix/la tranquillité :
§ « Bien au-dessus des toits, montait de tous ces âtres ou l’on goutait la paix, le plus divin des biens. » (11)—Cet peuple est extrêmement paisible et gentil.
o Le mot « bercer » :
§ « Ici, le lin berçait ses frêles chalumeaux. » (10)
§ « L’océan s’endormait en berçant des flots verts. » (16)
§ « Bercer » est un mot très doux et paisible qui décrit les Acadiens.
o La musique :
§ « Pour y danser sur l’herbe, au son du violon. » (14)
§ La musique fournit un sens de paix et gaieté dans les vies des gens.
o L’intrusion d’une autre culture :
§ « Ces navires anglais mouilles près de nos cotes. Leurs énormes canons, qui sont braques sur nous, Ne nous annoncent point les dessins les plus doux. Mais quels sont ces desseins ? Hélas ! on les ignore ! » (19)—Les Anglais détruisent les vies des Acadiens avec leur intrusion et expulsion du peuple.
o La nature prévoit des événements:
§ « En été, quelquefois, après un jour serein, on voit, à l’horizon, un nuage s’étendre. » (28)
§ « Mais voilà que soudain le nuage se fend, le ciel vomit la flamme ; et la pluie et la grêle… » (28)
§ Cet orage prévoit l’expulsion des Acadiens.
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