dimanche 28 mars 2010

Sujet: Redaction #2

"On ne nait pas femme: on le devient" 

         --Simone de Beauvoir, Le Deuxième Sexe

 

         Je voudrais écrire au sujet du rôle de la femme dans les œuvres que nous avons lu.  Je suis dans la classe "Francophone Women Writers" et je trouve le sujet de féminisme fascinant. Simone de Beauvoir a dit: "On ne nait pas femme: on le devient." Je trouve cette citation essentielle pour décrire mon argument.  Les femmes principales dans: Evangeline, Par-derrière chez mon père et Deux Femmes, Deux Rêves montrent les femmes comme les êtres extrêmement fortes et puissantes.  Je crois qu'elles "deviennent" les femmes à travers leurs expériences d'adversité.  Chacune doit endurer un grand changement dans sa vie et elle est la colle de la famille. Bien que l’homme ait le rôle « supérieur » dans la société, la femme tient le rôle essentiel. 

Des exemples :

1.   Evangeline

a.    « O vous tous qui croyez a cette affection qui s’enflamme et grandit avec l’affliction ; O vous tous qui croyez au bon cœur de la femmes, a la force au courage, a la foi de son âme… » (Longfellow, 9)

b.   « Evangeline aimait et de révélait femme. On l’avait a bon droit surnommée, au hameau, le soleil de la Sainte-Eulalie. Au rameau ce soleil fait murir les fruits en abondance, disaient les paysans ; elle, par sa prudence, elle saura remplir le foyer de l’époux, de gaîté, de vertus, et d’enfants blonds et doux. » (Longfellow, 15)

c.    « Evangeline est seule, et bien close est la porte ; mais dans l’enivrement du rêve qui l’emporte elle entend murmurer la voix du fiance, et son cœur plein d’amour vers lui s’est élancé. » (Longfellow, 24)

d.   « Elle prend dans ses mains la tête inanimée, la presse doucement contre son cœur transi, et dit, penchant son front : « O mon Père, merci ! » » (Longfellow, 75)

e.    « Son Evangeline, après tout, était une belle jeune fille sage, pure et courageuse, tout a l’honneur du peuple qu’elle symbolisait » (Maillet, dans Fanie, 71)

                                              i.     Evangeline comme symbole

2.   Par-derrière chez mon père : les contes de Maillet

a.    « En tout cas, les Evangeline que j’ai connues n’avaient braiment pas l’allure de celle qui a sa statue a Grand-Pre. D’ailleurs, je crois que la plupart d’entre elles auraient brise leur socle depuis longtemps et seraient redescendues au ras du peuple. Surement ma tante Evangeline. » (Maillet, dans Fanie, 71-72)

b.   « …elle était la mère de onze garçons, et c’est la ou mon héroïne se distingue le plus surement de celle de Longfellow. » (Maillet, dans Fanie, 73)

c.    « La voilà, votre véritable Evangeline ! une courageuse, astucieuse, guelueuse, mère de onze garçons. » (Maillet, dans Fanie, 76)

3.   Deux Femmes, Deux Rêves

a.    « Une sensualité rehaussée d’une imagination fertile, voilà ce qui caractérisait notre Eglantine, assise sur un gros coussin moelleux, dans une chaise grinçante. Elle avait levé l’ancre du quotidien pour vaguer a la dérive du moi intérieur, la ou se trouve la vraie source de la sensualité. Sans trop en prendre conscience, Eglantine devenait donc, par intervalles, la femme éternelle, inventive, sensuelle, génératrice et aventureuse. » (Beaupré, 46)

b.   « Pas l’affaire de femmes ! Pas l’affaire des femmes ! Qui fournit des jeunes pour les guerres ? Qui ressent les blessures plus profondément qu’elles ? Qui se ronge d’inquiétudes et d’ennui ? Qui, Aurélien ? » (Beaupré, 82) 

dimanche 21 mars 2010

Réponse: La Franco-Américaine

1) Comment est-ce que les Petits Canada (et les communautes franco-americaines aujourd'hui) semblent similaires aux communautes cadiennes en Louisiane (formation, histoire, raisons pour l'immigration, statut de la langue francaise, etc) ? 

Les Petits Canada semblent similaires aux communautés cadiennes en Louisiane a cause de plusieurs raisons.  D'abord, les peuples des Petits Canada participaient dans un grand exode aux Etats-Unis comme les Cadiens.  Ils voulaient trouver le travail et une vie plus facile et meilleure que la vie au Canada.  Ils ont trouve les centres industriels (en particulier les filatures du coton, les manufactures de textile et de chaussures).  Même si la maniere de travail a change pour ce peuple, la famille restait l'aspect le plus important comme pour les Cadiens.  Souvent, les familles travaillaient ensemble.  J'ai trouve intéressent que "le nombre impressionnant d'enfants dans les familles constitue, pour eux, leur véritable richesse." (66)   Aussi, leur mode de vie "tournait autour de l'usine et de l'église."  Ces aspects de la vie restait essentiel pour les Canadiens.  Les Cadiens gardaient ces aspects dans leur vie aussi. 

Les Cadiens et les Francos-Americains voulaient préserver la langue française.  La religion catholique a joue un role important dans la préservation de la langue parce que la plupart d'enseignantes etaient des religieuses.  Ce peuple devait choisir de lutter contre la langue imposante, l'anglais, ou assimiler a la culture.  C'était intéressant parce que la classe ouvrière voulaient assimiler parce qu'ils pouvaient reussir dans le monde de travail.  Il y avait aussi des lois d'enseigner l'anglais comme dans le Maine en 1919.  Alors, les deux groupes (Les Cadiens et les Francos-Americains) devaient essayer de préserver leur langue, mais en même temps assimiler dans la culture.


2) En quoi sont-ils uniquement "franco-americains" (et ainsi differents des Cadiens) ?  Quelle est la situation de la langue francaise aujourd'hui dans les commuanutes franco-americaines ?

Ils sont uniquement "franco-américains" parce qu'ils sont seulement Français et aussi Américain.  Les Cadiens ont une mélange des cultures...Africain, Espagnol, Européen, etc.  "...sur une population de plus de 16 millions d'habitants, plus de 1,5 million s'identifient comme étant d'ascendance acadienne, canadienne française ou française." (89)  Alors, ils s'identifient seulement avec la France, le Canada ou aussi les Etats-Unis.  Il existe aujourd'hui une "conscience ethnique" (90) avec les Francos-Americains.  Ils essaient de retrouver une "collectivité" et un sens de communauté et fierté pour la langue française.